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Otan : "la majorité va le payer très cher" (Dupont-Aignan)
17/03/2009 17:31
17/03/2009 14h28 GMT - FRANCE-DÉFENSE-OTAN-ASSEMBLÉE-GOUVERNEMENT-PARTIS-DLR - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 17 mars 2009 (AFP) - Nicolas Dupont-Aignan (ex-UMP), président du parti gaulliste Debout la République, a estimé mardi que la majorité allait "payer très cher" la décision de Nicolas Sarkozy de faire revenir la France dans le commandement intégré de l’Otan.
"Le président de la République est un atlantiste invétéré qui n’a pas compris le logiciel français et je crois que la majorité va le payer très cher", a déclaré M. Dupont-Aignan dans les couloirs de l’Assemblée, à quelques minutes du débat dans l’hémicycle.
"Tous les jours nous allons un peu plus loin dans le bourbier de l’Afghanistan. Comment imaginer que l’on puisse créer une Europe de la défense indépendante en devenant la succursale des Etats-Unis d’Amérique ? C’est absurde. C’est un contresens historique majeur", a-t-il ajouté.
Sur la forme, M. Dupont-Aignan a estimé que le gouvernement faisait "un chantage sur sa majorité pour passer en force" en engageant sa responsabilité devant l’Assemblée nationale. "Les Français ne sont pas dupes", a-t-il déclaré.
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NDA à la pointe du débat parlementaire sur le retour de la France dans l’OTAN
17/03/2009 17:27
Débat parlementaire sur le retour de la France dans le Commandement militaire intégré de l’OTAN Mardi 17 mars 2009
Intervention de Nicolas DUPONT-AIGNAN
Nous vivons mes chers collègues un moment rare, très paradoxal de notre vie parlementaire. Le Premier ministre nous explique que le retour dans le commandement militaire intégré de l’OTAN est un non évènement et pourtant il engage la responsabilité de son gouvernement afin de museler sa propre majorité.
C’est bien la preuve, et nous le savons tous ici, que ce retour constitue une décision fondamentale pour l’avenir de notre pays.
Ce retour est incongru et dangereux.
Incongru car personne ne le demandait, pas même les Etats-Unis.
Le président de la République s’y était-il engagé devant les Français pendant la campagne présidentielle ? NON
Les parlementaires de la majorité l’exigeaient-ils ? Pas davantage.
La France était-elle jusqu’à présent empêchée d’agir sur les différents théâtres d’opérations ? NON, les faits le prouvent.
Le Président OBAMA a-t-il donné des assurances sur la mise en œuvre de la codécision dont a rêvé à voix haute le Président de la République dans son discours de l’école militaire ? NON.
Et ce ne sont pas les deux commandements secondaires de Norfolk et Lisbonne qui changeront la nature de l’organisation militaire. Cela, pardonnez-moi mes chers Collègues de le dire sans aucun fard, cela s’appelle des hochets.
On nous dit que nous aurons plus de poids à l’intérieur pour réformer l’Alliance, mais pourquoi signer un chèque en blanc, pourquoi ne pas obtenir d’abord une réforme et ensuite décider en pleine connaissance de cause ?
Evidemment, c’est là le véritable enjeu : le Général de Gaulle avait déclaré en 1966 « la volonté qu’a la France de disposer d’elle-même est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée ».
Il avait raison : nous ne serons ainsi dans ce commandement intégré qu’un subordonné de plus. Or, en quoi l’addition d’un subordonné de plus, parmi d’autres subordonnés, fera-t-elle progresser l’Europe de la défense ?
Tout au contraire, cette décision de la France tue l’idée même d’une Europe indépendante puisque le seul pays, le nôtre, qui pouvait être le levain de la pâte, s’enferme dans un rôle de sous-traitant et de supplétif de l’OTAN.
Preuve en est : avant même que cette décision soit formellement prise, le gouvernement a annoncé que les renforts français qui seront envoyés en août prochain en Afghanistan, seront directement placés sous commandement américain. Où est donc l’indépendance renforcée de la France qu’a invoquée Nicolas Sarkozy ?
Dans ces conditions, comment accepter de voir notre pays sans aucune contrepartie se priver d’une telle carte, c’est-à-dire renoncer à sa singularité, l’un de ses atouts majeurs dans le monde avec son siège à l’ONU ?
En définitive en abandonnant « notre différence » pour des chimères, en lâchant la proie pour l’ombre, vous allez donner votre accord à un véritable marché de dupes.
Mais « cette fameuse différence », cette certaine idée de la France, que tous les présidents de la République successifs ont su, à leur façon, incarner, Nicolas Sarkozy y tient-il vraiment ?
L’évolution de notre politique étrangère, la jachère aggravée de la francophonie, l’engagement dans le bourbier afghan, ce retour précipité dans l’OTAN, permettent d’en douter.
D’ailleurs le Président ne s’en cache pas. Il ne cesse d’affirmer « son appartenance au camp occidental ». Mais la France pourrait parfaitement être solidaire des Etats-Unis sans épouser obligatoirement en toute circonstance leur lecture du monde.
Ce retour dans le commandement militaire intégré est, à cet égard, un contresens historique majeur.
La question est simple : veut-on définitivement faire de l’OTAN le bras armé de l’Occident ou, au contraire, imaginer une nouvelle organisation de défense, partenaire des Etats-Unis mais non plus placée sous leur hégémonie, qui parle au monde avec sa voix propre ?
Au moment où la vision d’un monde multipolaire imaginé par le Général de Gaulle en pleine Guerre froide se fait jour devant nous, la France met un peu plus le doigt dans l’engrenage de guerres qui ne sont pas les siennes, la France abime son image.
La France renonce à sa part de liberté. Oui, la France renonce à être le trait d’union entre l’Est et l’Ouest, entre le Nord et le Sud.
Quel gâchis !
Car, comme le disait encore le Général de Gaulle : « la politique la plus coûteuse, la plus ruineuse, c’est d’être petit ».
Mais la faute n’est pas seulement stratégique, elle est aussi politique. Car cette rupture va fragiliser un peu plus notre cohésion nationale. C’est bien parce que la France menait une politique indépendante des Etats-Unis qu’un exceptionnel consensus s’était, au fil du temps, forgé dans notre pays autour de nos armées, en faveur de l’effort de défense.
Or, sans effort de défense, il n’y a pas de pays libre, maître de son destin.
Mes chers Collègues, vous ne servez pas le gouvernement que vous soutenez en le laissant commettre une telle erreur.
Voilà pourquoi, Monsieur le premier Ministre, mettant en jeu la responsabilité du gouvernement sur la politique étrangère et de défense, vous m’obligez à vous retirer, à regret, ma confiance.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président de Debout la République
Commentaire de Manéthon (18/03/2009 08:25) :
Trés bon discour qui, hélàs pour la France n'a pas été entendu par la
clique qui a voté pour le retour de la France dans l'OTAN !
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Vins rosés coupés : les étranges valses-hésitations du ministre de l’Agriculture
17/03/2009 12:41
Habitué des cénacles bruxellois où, dit-on, il souhaiterait retourner après sa future élection au Parlement européen, Michel Barnier avait déjà manifesté une curieuse conception de la défense des intérêts français : lorsqu’il était Commissaire européen au début des années 2000, il avait, tout comme son collègue socialiste Pascal Lamy, approuvé sans réserve aucune le projet de directive Bolkestein, prévoyant la mise en concurrence sauvage des services au sein de l’UE.
Ministre de l’Agriculture aujourd’hui, il vient d’approuver (avant de changer son fusil d’épaule, donc) le principe du rosé coupé, pratique qui selon l’aveu même d’un autre membre du gouvernement, Hubert Falco, menacerait l’avenir des producteurs français, qui ont fait le pari de la qualité.
Vin rosé : comment la France a changé d’avis
Libération, vendredi 13 mars 2009
Philippe Brochen
Lors d’un vote indicatif à Bruxelles, le ministre de l’Agriculture Michel Barnier a donné son accord au mélange de vin rouge et de blanc. Avant de retourner sa veste...
Peut-on mélanger du vin rouge et du vin blanc pour faire du rosé ? A cette question, la Commission de Bruxelles répond oui. Et la France ? Eh bien, la France, heu… On ne sait pas trop.
Résumé de l’affaire. Fin janvier, à Bruxelles, la France a approuvé avec ses homologues des Vingt-sept, un projet de réglementation européen autorisant le mélange de vin blanc et de vin rouge pour faire du rosé. Pratique actuellement interdite dans l’UE, à de rares exceptions près, comme pour le champagne.
Mais voilà, sans doute sous la pression des producteurs français de rosé, dont ceux de Provence, Michel Barnier et ses troupes semblent avoir changé d’avis sur cette question dite du coupage. Charge à eux, maintenant, de parvenir à infléchir leur position sans que cela se voie trop, avant le vote définitif sur la question, le 27 avril à Bruxelles.
Au cabinet de Michel Barnier, on a le sens de la précision. « Le 27 janvier, ce n’était pas un vote indicatif, c’était un recueil d’avis informel », dit le ministère de l’Agriculture. Le porte-parole du commissaire européen à l’Agriculture, lui, dit : « Vote indicatif ou informel, c’est un peu la même chose. Nous, à la Commission européenne, on dit indicatif. Après s’ils veulent dire informel… »
« C’est vrai que ce point précis pose problème »
Au ministère de l’Agriculture, on avance que « cette question du rosé a été traitée dans le cadre d’un règlement global sur les pratiques œnologiques dans l’UE. C’est une question parmi vingt ou trente autres : copeaux, alcoolisation, adjuvants… On a donc voté pour l’ensemble du texte, qui comporte tout un tas de dispositions ».
Dont la technique du coupage pour le rosé. « C’est vrai que ce point précis pose problème », avoue l’entourage de Barnier. Pourquoi alors avoir voté favorablement. « Nous avions le souci de ne pas bloquer le processus, qui doit entrer en vigueur le 1er août. »
La Commission européenne connaît l’embarras du camp français concernant ce projet de réglementation sur le vin. « Paris a voté pour ce paquet de mesures sur les pratiques œnologiques que nous voulons changer. Il semble qu’ils aient conscience que cela leur pose maintenant un problème », réagit Michael Mann, porte-parole du commissaire à l’Agriculture.
Qui résume : « Les Etats membres peuvent toujours changer d’avis entre le vote consultatif et le vote définitif. » Et le fonctionnaire européen d’avouer : « Nous sommes en train de réfléchir à la conduite à tenir si certains Etats membres votent contre ce changement de réglementation. »
Comme dans l’affaire sur la baisse de la TVA dans certains secteurs, comme la restauration, dont l’accord a pu être arraché par la France grâce au vote allemand, il semble que Berlin puisse venir une nouvelle fois au secours de Paris sur la question du coupage. L’Allemagne, qui a voté défavorablement lors du vote indicatif, pourrait permettre à Barnier de se sentir moins isolé le 27 avril et lui permettrait de ne pas se prendre la porte de sortie en pleine figure.
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Il faut remettre à plat dans la transparence les tarifs de GDF
16/03/2009 13:43
Lors de la privatisation de Gaz de France, on a assisté à beaucoup de revirements (par exemple d’un ancien ministre de l’Economie et des Finances passé à l’Intérieur, qui avait pourtant juré ses grands dieux qu’il ne laisserait jamais s’opérer cette privatisation) et on a entendu beaucoup d’arguments, qui sonnaient en réalité davantage comme des alibis.
Depuis que la part de l’Etat dans le capital de GDF est descendu à moins de 50%, on a pu constater combien la recherche du profit l’emportait sur le sens du service public au sein de l’entreprise, conformément hélas aux craintes que j’avais formulées avec de nombreux observateurs et parlementaires.
Dernier développement du dossier, la question des profits réalisés par l’entreprise et des dividendes qu’elle s’apprête à distribuer généreusement (notamment à l’Etat), ne peut qu’exaspérer par ces temps de crise et de diminution du revenu disponible des classes moyennes.
Dans un rôle de plus en plus ambivalent, l’Etat encore actionnaire de GDF a consenti des hausses importantes du tarif réglementé du gaz, invoquant l’envolée du cours des hydrocarbures en 2008 (argument des plus douteux, compte tenu des contrats à terme dont bénéficie l’entreprise). Bien entendu, en filigrane, l’argument était qu’il fallait préserver l’équilibre financier de Gaz de France en ne lui imposant pas d’augmentations trop modérées de ses tarifs.
Patatras, le résultat 2008, un bénéfice annuel de 6,5 milliards d’euros en hausse de 13% par rapport à 2007, démontre combien la puissance publique ne se soucie plus de l’intérêt général - le meilleur prix aux consommateurs de gaz - mais de l’intérêt des actionnaires, dont elle-même, qui doivent pouvoir se goinfrer toujours plus, crise ou pas crise.
Grâce à une hausse du tarif du gaz en 2008 de plus de 15%, GDF va ainsi distribuer 4,8 milliards d’euros à ses actionnaires, dont plus du tiers à son premier actionnaire, l’Etat.
Que Bercy ait finalement annoncé vouloir toucher cette manne sous forme d’actions et non d’argent sonnant et trébuchant – sans doute en partie pour minimiser le scandale – n’y change rien. Cela indique plutôt que les prévisionnistes du ministère de l’Economie et des Finances misent sur des résultats de plus en plus florissants de l’entreprise, désormais animée par la recherche du profit et assurée que l’Etat jouera dorénavant davantage un rôle d’actionnaire que de régulateur.
Ce système n’est pas acceptable : il s’apparente clairement, s’agissant d’une ressource essentielle, à la mise en place de prélèvements obligatoires cachés, ce qui est d’autant plus choquant qu’il s’applique à une multitude de Français, sans considération de justice sociale en période de crise, et qu’il est le fait de gouvernants qui, par ailleurs, ne cessent de vilipender l’excès d’impôts.
Christine Lagarde, sans doute pour tenter de se faire pardonner, a promis une baisse substantielle du tarif réglementé du gaz au 1er avril. Mais la baisse ne compensera pas l’abus tarifaire de l’année précédente et surtout elle entrera en vigueur à un moment de l’année où les dépenses de gaz des Français sont naturellement beaucoup plus faibles. « Trop peu, trop tard », dénoncent déjà à juste raison les associations de consommateurs…
Quelle solution ? Pour ma part, je n’ai pas changé d’avis et estime toujours que l’idéal serait la mise sur pied d’un grand groupe public de l’énergie, EDF-GDF, assis sur un monopole national. Ce système fonctionnait très bien jusqu’à ce que l’Europe s’en mêle et que nos gouvernants, en 2002, lui lâchent tout en rase campagne. De plus, cela n’interdirait pas, contrairement à ce que l’on entend, le développement international de l’entreprise dans des pays tiers, avec lesquels des accords de partenariat stratégique pourraient très bien être noués. L’exemple d’Areva dans le nucléaire le démontre à l’envi.
En attendant, nul n’est besoin de chambouler la libéralisation du marché de l’énergie en France pour que le gouvernement décide d’une réévaluation transparente et au bénéfice des usagers du gaz des tarifs de GDF. A cet égard, une réelle mise à plat du calcul des prix de cette entreprise, qui n’a jamais eu lieu, est urgente.
Commentaire de Anthéa (16/03/2009 15:08) :
Pour ceux qui douté encore de la noblesse du comportement de Sarkozy par
apport au Général De Gaulle…
http://www.marianne2.fr/Nicolas-Sar...
Vous verrez comme le premier est loin, trés loin de laz vertu du second !
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Commentaire de manéthon (16/03/2009 18:48) :
Lire sur le site d'Alain
Ahttp://alpernalain.blogspot.com/2009/03/un-jumelage-henin-beaumontpont-sai
nt.htmllpern
A quand une association de contribuable de ce type sur Hénin ?
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Ah les médias !
16/03/2009 09:31
Ce matin, après la lecture de mon journal qui relatait déjà la veille et encore aujourd’hui, le meeting du FN à Arras, je regardais l’émission des " 4 vérités " dont l’invité du jour était Marine Le Pen. J’espérai ainsi en apprendre un peu plus sur le programme proposé par le FN en matière de politique européenne, car après 48 heures de matraquage médiatique, hors mis des slogans péremptoires et des inventaires à la " Prévert ", je restais sur ma faim…
Eh bien, j’y suis resté ! Mme Le Pen a dénoncé les travers de l’Union Européenne que DLR dénonce depuis toujours, mais elle n’a pas exposé l’once d’un début de programme.
Je retiens que le journaliste, en parlant de concurrence des partis souverainistes, n’a cité que Philippe De Villiers, le marquis inféodé à Sarkozy 1er. Pour rappel, son mouvement a fait alliance avec Libertas, organe créé par un richissime et sulfureux affairiste irlandais, ce qui nous permet d’émettre des doutes quand à son indépendance vis à vis des lobbies financiers qui tuent l’Europe. En revanche, ce même journaliste, fidèle à la " liste noire " du petit monarque Sarkozy 1er, n’a jamais nommé DLR ou Nicolas Dupont – Aignan. Je retiens également Mme Le Pen se plaignant du déficit médiatique qu’à rencontré son parti (sic)… Soyons sérieux, après l’UMP et le PS, le FN est le troisième parti le plus exposé en France, tous médias confondus (pour rappel, DLR n’arrive qu’en 9ème place). Ce n’est un secret pour personne, cette hyper – médiatisation du FN ne se fait qu’avec la bénédiction de l’UMP et du PS. Quelle aubaine pour eux que ce FN qui, par ses outrances, nuit au souverainistes sérieux, et au delà, à la France même !
PW
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